Dans sa thèse de doctorat exploitée par nos confrères du quotidien Le Soleil, le chercheur conclut à un risque élevé de submersion marine et d’érosion côtière. L’indice de vulnérabilité est de 36% pour les zones de Malika, Tivaouane Peulh, Niaga, Hann, Thiaroye, Rufisque, Minam et Sendou. Par contre cet indice est de 29% pour les zones de Déni Guédj, Guédiawaye, Parcelles assainies, Camberène, Golf, Bargny et Yène.La même étude montre que le risque est faible à Yoff, aux Almadies, à Ouakam et Toubab Dialaw, détaille le journal.