Pour n’avoir pas participé au dialogue, le maire de la commune de Mermoz-Sacré-Cœur, donne ses raisons: «Nous sommes des hommes de dialogue, mais nous n’avons pas accepté les non-dits dans ce dialogue.”
Et de faire savoir que «ce n’est pas dialoguer, mais plutôt informer. C’est pourquoi, nous avons décliné ce dialogue qui, à nos yeux, n’est pas fondé sur du sérieux. Pour qu’on puisse parler de dialogue national, il faut une démarche inclusive et participative (…)».