Le ramadan a donné lieu à de nombreuses difficultés sociales au Tchad : coût de la vie, délestages, ruptures dans l’alimentation en eau. Si des mesures ont été prises pour faire face au renchérissement des prix des denrées de première nécessité, pour l’eau et l’électricité des travaux lourds d’infrastructures seront nécessaires. Pourquoi n’ont-ils pas été menés pendant les années fastes de la manne pétrolière ? Pour Jean Bernard Padaré, l’un des cadres du parti au pouvoir le MPS (Mouvement patriotique du salut), cela n’a rien à voir avec la corruption.